lundi 4 mai 2015
Le premier coursier à vélo de Tahiti
Lundi, Baptiste, 26 ans, sera le premier coursier à vélo de Tahiti. Munis de son sac à dos spécial coursier et de sa bicyclette, il effectuera sa première livraison. Le projet de Baptiste est simple et peu coûteux : offrir un service de livraison de colis aux entreprises et aux particuliers, avec sa bicyclette comme seul moyen de locomotion.
Cette idée 100% écologique, il l’a eue il y a deux mois à peine. Et il la développe sur son site web « Mana-Cycle Express ». Arrivé sur le territoire en janvier dernier, le jeune sportif a décidé de se lancer dans cette aventure par hasard. « J’ai cherché du travail dans mon domaine et ce n’était pas évident », raconte-t-il. Son domaine, la gestion de projet environnement, aménagement et territoire.
À la recherche d’un emploi, Baptiste s’est donc décidé à mettre en place un projet qu’il avait en tête depuis quelques années, à savoir, ouvrir une entreprise de coursier non motorisé. « Je me suis dit que c’était l’occasion de se lancer étant donné que cela n’existe pas ici. » En effet, il existe de nombreuses entreprises de coursiers à vélo dans des grandes villes telles que Lyon, Paris ou même New York. « Je ne prends pas un gros risque si cela ne fonctionne pas » : ouvrir une entreprise de coursier à vélo demande en effet peu d’investissement. Une bicyclette, un bagage pouvant transporter des colis ou de la marchandise suffisent et une excellente forme physique suffisent. Un coursier parcours en moyenne 80 km par jours à vélo. Mais pour Baptiste qui « fait du sport et du vélo depuis toujours », cette distance ne pose aucun problème. « Ce n’est pas un métier difficile mais il faut quand même être passionné », précise-t-il.
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Cette idée 100% écologique, il l’a eue il y a deux mois à peine. Et il la développe sur son site web « Mana-Cycle Express ». Arrivé sur le territoire en janvier dernier, le jeune sportif a décidé de se lancer dans cette aventure par hasard. « J’ai cherché du travail dans mon domaine et ce n’était pas évident », raconte-t-il. Son domaine, la gestion de projet environnement, aménagement et territoire.
À la recherche d’un emploi, Baptiste s’est donc décidé à mettre en place un projet qu’il avait en tête depuis quelques années, à savoir, ouvrir une entreprise de coursier non motorisé. « Je me suis dit que c’était l’occasion de se lancer étant donné que cela n’existe pas ici. » En effet, il existe de nombreuses entreprises de coursiers à vélo dans des grandes villes telles que Lyon, Paris ou même New York. « Je ne prends pas un gros risque si cela ne fonctionne pas » : ouvrir une entreprise de coursier à vélo demande en effet peu d’investissement. Une bicyclette, un bagage pouvant transporter des colis ou de la marchandise suffisent et une excellente forme physique suffisent. Un coursier parcours en moyenne 80 km par jours à vélo. Mais pour Baptiste qui « fait du sport et du vélo depuis toujours », cette distance ne pose aucun problème. « Ce n’est pas un métier difficile mais il faut quand même être passionné », précise-t-il.
Lire l’intégralité de l’article dans La Dépêche de Tahiti de lundi 4 mai ou sur notre feuilletage numérique.