mardi 6 octobre 2015
Ori Tahiti – Une tentative de record du monde prévue le 30 janvier
Après le ‘ukulele en avril, un nouveau record du monde se prépare à Tahiti, celui du plus grand nombre de danseurs et danseuses de ‘ori Tahiti.
Pour l’instant, seule la date est connue, le 30 janvier. Quant au lieu, “nous sommes en train de voir tous les stades, pour savoir combien ils peuvent recevoir de personnes”, explique Makau Foster Delcuvellerie, qui organise cet événement avec sa fille Kohai. Car l’objectif est de faire mieux que le Mexique, actuel détenant du record, qui a réuni un peu plus d’un millier de danseurs et danseuses le 5 septembre. “Le ‘ori Tahiti est quelque chose de très prisé de par le monde, que ce soit au Japon, au Mexique, en Amérique, à Hawaii, même jusqu’en Finlande et en Italie”, poursuit Makau Foster. “Les Mexicains ont lancé le challenge et pour moi, c’est tellement important que ça se passe à Tahiti, pour montrer que le ‘ori Tahiti appartient à la Polynésie, et non ailleurs. C’est nous qui devons avoir ce record, parce que ce qui est dangereux, c’est de voir un jour le ‘ori Tahiti appartenir à quelqu’un d’autre.”
Makau Foster espère donc rassembler au moins 3 000 personnes pour obtenir ce record, “mais s’il y en a plus, c’est mieux !”
Le Guinness Book of Records lui a déjà envoyé le règlement. Les danseurs et danseuses devront porter un pareu, une couronne de tête, une taille en ‘auti et un T-shirt estampé de l’événement.
“Ça ne durera que huit minutes, mais tout le monde doit savoir danser et connaître la chorégraphie. S’il y a un ou une qui ne sait pas danser, il ou elle sera décompté du total.”
Les chorégraphies seront filmées cette semaine, et les vidéos diffusées dès que possible sur les réseaux sociaux afin que chacun puisse répéter chez soi. “Ça va être que des ‘ote’a. On est en train de voir si on peut faire un ‘aparima rapide typique d’ici, ou un pata’uta’u marrant où tout le monde peut s’amuser et
danser.” Les inscriptions – qui seront lancées dès que tous les détails liés à cet événement seront réglés – seront ouvertes à toute personne âgée de 12 ans et plus. Et pour ceux qui préfèrent s’entraîner en groupe, des répétitions publiques seront également organisées très prochainement dans les jardins de Paofai.
Vaiana Hargous
Pour l’instant, seule la date est connue, le 30 janvier. Quant au lieu, “nous sommes en train de voir tous les stades, pour savoir combien ils peuvent recevoir de personnes”, explique Makau Foster Delcuvellerie, qui organise cet événement avec sa fille Kohai. Car l’objectif est de faire mieux que le Mexique, actuel détenant du record, qui a réuni un peu plus d’un millier de danseurs et danseuses le 5 septembre. “Le ‘ori Tahiti est quelque chose de très prisé de par le monde, que ce soit au Japon, au Mexique, en Amérique, à Hawaii, même jusqu’en Finlande et en Italie”, poursuit Makau Foster. “Les Mexicains ont lancé le challenge et pour moi, c’est tellement important que ça se passe à Tahiti, pour montrer que le ‘ori Tahiti appartient à la Polynésie, et non ailleurs. C’est nous qui devons avoir ce record, parce que ce qui est dangereux, c’est de voir un jour le ‘ori Tahiti appartenir à quelqu’un d’autre.”
Makau Foster espère donc rassembler au moins 3 000 personnes pour obtenir ce record, “mais s’il y en a plus, c’est mieux !”
Le Guinness Book of Records lui a déjà envoyé le règlement. Les danseurs et danseuses devront porter un pareu, une couronne de tête, une taille en ‘auti et un T-shirt estampé de l’événement.
“Ça ne durera que huit minutes, mais tout le monde doit savoir danser et connaître la chorégraphie. S’il y a un ou une qui ne sait pas danser, il ou elle sera décompté du total.”
Les chorégraphies seront filmées cette semaine, et les vidéos diffusées dès que possible sur les réseaux sociaux afin que chacun puisse répéter chez soi. “Ça va être que des ‘ote’a. On est en train de voir si on peut faire un ‘aparima rapide typique d’ici, ou un pata’uta’u marrant où tout le monde peut s’amuser et
danser.” Les inscriptions – qui seront lancées dès que tous les détails liés à cet événement seront réglés – seront ouvertes à toute personne âgée de 12 ans et plus. Et pour ceux qui préfèrent s’entraîner en groupe, des répétitions publiques seront également organisées très prochainement dans les jardins de Paofai.
Vaiana Hargous
sandrine lecomte